Le constructeur français a officiellement annoncé l’arrivée de la nouvelle Twingo, qui sera mise en vente à partir de 2026 pour moins de 20 000 euros, établissant ainsi une direction claire quant à l’avenir de la marque.
La stratégie est nette : se concentrer sur des voitures relativement petites, attrayantes, électriques et surtout abordables. Est-ce là la voie pour généraliser l’usage des véhicules verts ? Très probablement, notamment parce que historiquement, le prix a été l’un des principaux obstacles à la diffusion des voitures zéro émission.
Les conducteurs réclament depuis longtemps des voitures à prix abordables, et Renault répond rapidement, s’engageant à commercialiser des voitures à moins de 25 000 euros dans les années à venir, comme promis. La nouvelle Dacia Sandero sera le point de départ, avec un prix estimé à environ 12 000 euros, suivie par l’héritière de la Dacia Spring, qui pourrait débuter aux alentours de 15 000 euros.
Ensuite, il y aura de la place pour la Twingo mentionnée précédemment, prévue pour avoir un prix de départ de 19 900 euros, avec une batterie variant entre 40 et 50 kWh, tandis que la nouvelle Renault 5 devrait coûter à partir de 23 900 euros.
L’Alpine A290 aura également sa place, étant la version la plus puissante et sportive de la R5, avec un coût de 35 000 euros, un prix plus élevé mais contenu compte tenu du positionnement d’Alpine, une marque un peu plus haut de gamme.
On espère que d’autres constructeurs automobiles pourront également s’inspirer de la stratégie de Renault, qui jusqu’à présent, avec Dacia, a été un succès indéniable. Un bon exemple est la Citroën e-C3 à 23 900 euros, avec un modèle à 19 900 euros prévu pour 2025, et l’année suivante devrait voir l’arrivée de la Panda, dont le prix de départ tournerait autour de 20 000 euros.